Le tourisme face aux changements climatiques: L’Algérie affine sa politique
Face au changement climatique, l’Algérie affine sa politique en mettant l’accent sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre et l’adaptation aux impacts du changement climatique. Cela se traduit par la poursuite de la mise en œuvre du Plan National Climat (PNC) 2020-2030, l’élaboration d’une loi-cadre sur le changement climatique, et le renforcement de la coopération internationale. En résumé, l’Algérie renforce son action climatique en 2025 en affinant sa politique, en mettant en œuvre le PNC, en adoptant une loi-cadre, et en consolidant sa coopération avec la communauté internationale pour faire face aux défis du changement climatique.
En ce sens, Nadi Moufida, de l’université de Relizane, explique que les phénomènes climatiques extrêmes tels que les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes menaceront l’activité touristique, avec des niveaux variables. Le tourisme mondial, souligne-t-elle, participe dans l’empreinte carbone à environ 8 % des gaz émis et le secteur des transports se taille la part belle de ce total.
La poursuite de la croissance de la demande touristique doublera les émissions de ce secteur, à moins que des mesures durables soient adoptées .
Quant à l’Algérie, l’universitaire précise que notre pays a ratifié les principales conventions internationales relatives au changement climatique et a renforcé ses initiatives nationales pour y faire.
L’Algérie a également adopté le plan directeur de développement touristique, qui faisait partie du plan national d’aménagement du territoire.
Les changements climatiques, indique l’universitaire, affectent clairement le tourisme et les sites touristiques en Algérie, à travers des phénomènes tels que l’élévation du niveau de la mer, la désertification et la baisse des rendements agricoles.
Face à cette situation, elle a relevé la nécessité d’établir des cellules sectorielles pour la gestion des déchets industriels dans chaque secteur vital, tel que le tourisme, l’agriculture et l’industrie, afin de garantir l’intégration des efforts et adaptation des politiques sectorielles aux défis climatiques croissants.
Il s’agit aussi de renforcer le tourisme local face au changement climatique, et travailler à limiter l’impact des phénomènes climatiques et exploiter les opportunités offertes par l’augmentation des températures grâce à l’investissement dans les énergies renouvelables, en particulier l’énergie solaire, et travailler à son développement en tant que source d’exportation majeure vers les marchés européens à l’avenir.
Les phénomènes climatiques extrêmes tels que les inondations, les vagues de chaleur et les tempêtes menaceront l’activité touristique, avec des niveaux variables, affirme telle
Le tourisme mondial, souligne-t-elle, participe dans l’empreinte carbone à environ 8 % des gaz émis et le secteur des transports se taille la part belle de ce total. La poursuite de la croissance de la demande touristique doublera les émissions de ce secteur, à moins que des mesures durables soient adoptées .
Quant à l’Algérie, l’universitaire précise que notre pays a ratifié les principales conventions internationales relatives au changement climatique et a renforcé ses initiatives nationales pour y faire face.
L’Algérie a également adopté le plan directeur de développement touristique, qui faisait partie du plan national d’aménagement du territoire.
Les changements climatiques, indique l’universitaire, affectent clairement le tourisme et les sites touristiques en Algérie, à travers des phénomènes tels que l’élévation du niveau de la mer, la désertification et la baisse des rendements agricoles.
Face à cette situation, elle a relevé la nécessité d’établir des cellules sectorielles pour la gestion des déchets industriels dans chaque secteur vital, tel que le tourisme, l’agriculture et l’industrie, afin de garantir l’intégration des efforts et adaptation des politiques sectorielles aux défis climatiques croissants.
Il s’agit aussi de renforcer le tourisme local face au changement climatique, et travailler à limiter l’impact des phénomènes climatiques et exploiter les opportunités offertes par l’augmentation des températures grâce à l’investissement dans les énergies renouvelables, en particulier l’énergie solaire, et travailler à son développement en tant que source d’exportation majeure vers les marchés européens à l’avenir.
Par Réda Hadi