18/09/2025
ACTUNATIONAL

Fonds vert de l’ONU: L’Algérie bénéficie d’un financement de 3 millions de dollars

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L’Algérie a bénéficié d’un financement de 3 millions de dollars du Fonds vert pour le climat, destiné à la réalisation du second plan national pour l’adaptation aux changements climatiques (PNC).

Ce financement est le fruit des efforts fournies par l’Algérie dans ses interventions, lors des conférences internationales, sur la nécessité de soutenir les pays émergents pour faire face aux effets des changements climatiques, indique, Bilal Lamita, conseiller du ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables.

S’exprimant dans une déclaration à la radio nationale « Chaîne I», l’intervenant a également souligné que le ministère de l’Environnement et des Énergies renouvelables « prépare le Plan national sur le climat depuis des années, en tant qu’outil pour étudier les effets négatifs du changement climatique sur tous les autres secteurs » soulignant qu’après le premier plan, un second plan sera lancé pour adapter les divers domaines aux enjeux majeurs du changement climatique ».

Le même responsable a ajouté que les changements climatiques affectent tous les secteurs, notamment le logement dont les effets sur la qualité des installations se fait sentir ainsi que le secteur de la santé avec les nouvelles maladies qui prévalaient en Afrique mais qui ont à migrer en raison des nouvelles conditions climatiques et d’autres secteurs souffrant de ce problème.

Concernant le nouveau plan « comprendra la mise en œuvre d’une stratégie au niveau des villes ». Pour ce faire, le département de Faiza Dahleb, après des études et mécanismes, proposera des « stratégies qui seront mises en œuvre en partenariat avec chaque secteur gouvernemental ».

Dans le même contexte, il a révélé qu’un programme de protection de l’environnement et des campagnes de nettoyage sont en cours au niveau des plages et des espaces forestiers durant l’été, indiquant que l’État s’intéresse aux conditions environnementales au plus haut niveau. « Aucune plage ne sera autorisée à la baignade tant que son eau n’est pas analysée » a-t-il soutenu, ajoutant qu’une surveillance périodique « sera garantie pendant l’été au niveau des plages et des espaces forestiers ».

Synthèse R E.

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